Le mystère de la licorne des mers

Pourquoi les poils de l’ours polaire sont-ils blancs ? Comment se forment les aurores boréales ? Qu’est-ce qu’un parhélie ? Quelle est la différence entre un manchot et un pingouin ? Et entre un pirate et un corsaire ? Parce que les découvertes que nous sommes amenés à faire lors de nos voyages font travailler nos méninges, voici un panel d’informations insolites pour satisfaire notre curiosité.
Le mystère de la licorne des mers
Le Graal du Grand Nord
Entre fjords, glaciers et icebergs
Une course de traîneaux à chiens aux airs d’odyssée
Entre mythes et réalités
Le plus grand fjord du monde
Tout savoir sur les différents types de glace
Le site de Jarlshof : 4000 ans d’histoire écossaise
Un écosystème marin exceptionnel
Un écosystème marin exceptionnel
Une oasis turquoise au cœur des volcans
Une gorgée de culture nipponne
Les mystérieuses lignes péruviennes
Zéphir, mistral, sirocco, vent d’autan … Autant de noms qui évoquent une tête baissée et une main retenant un chapeau ou une casquette prête à s’envoler. D’autres vents soufflent sur l’océan austral : on les appelle 40e rugissants, 50e hurlants, et 60e déferlants. Pour en savoir un peu plus, embarquons pour une virée dans l’hémisphère sud.
Il mesure entre 1,80 et 3 mètres, pèse 350 à 680 kilos et doit la couleur blanche de son pelage à ses poils translucides et creux, qui réfléchissent la lumière du soleil sur la banquise.
On parle souvent de pirates et de corsaires, sans trop savoir ce qui les distingue.
Le point Nemo… rien à voir avec un repaire de poissons-clowns ! C’est le terme scientifique pour désigner le « pôle maritime d’inaccessibilité », soit le point de l’océan le plus isolé de toute terre émergée. Un endroit du Pacifique Sud sans personne à moins de 2 700 km, qui n’a pas fini de révéler ses mystères…
Pingouins ou manchots : comment les reconnaître à coup sûr ?
Au XIe siècle de notre ère, Chichén Itzá est une puissante cité maya, puis toltèque.
Le parhélie est un phénomène optique fréquemment observé dans les régions polaires.
25 000, c’est le nombre de kilomètres parcourus par la baleine à bosse sur une année.