Sous les tropiques du Royaume-Uni…
Plages de sable blanc, palmiers et eaux turquoise ne sont pas uniquement l’apanage des îles du Pacifique. Dans l’Atlantique Nord, les paysages rivalisent également de beauté et invitent à la rêverie et la volupté.
Les îles Scilly – Une nature luxuriante et des eaux turquoise
Au bord des Cornouailles, en pleine mer Celtique, se dressent comme des chimères sorties de l’Iliade et l’Odyssée, des îles que l’on croirait issues d’un rêve, les îles Scilly. Criques de sable fin, eaux translucides, plantes tropicales, températures clémentes et végétation luxuriante, ici, la nature règne en maître. Les dauphins accompagnent les bateaux en sautant, les requins pèlerins jouent les curieux et les tortues viennent s’aventurer. Les îles Scilly offrent des randonnées inoubliables aux panoramas enivrants, où domine le bleu tendre de la mer. Chaque île se relie en bateau et chacune a sa spécificité. Mais toutes ont un point commun : l’impression d’un bout de paradis, échoué en plein Royaume-Uni.
L’île de Wight – Où comment remonter le temps
Au sud de l’Angleterre, une île taillée comme un diamant accueille de nombreux curieux chaque année. Car l’île de Wight a pour particularité d’offrir plusieurs paysages et autant d’ambiances, en un seul bout de terre perdu dans la Manche. Des falaises de grès aux facettes multicolores, des aiguilles minérales qui rappellent Étretat, des collines verdoyantes, des prairies garnies de fleurs sauvages où galopent des moutons, des plages étendues, des jardins à l’anglaise ; c’est un dépaysement hors du temps qui nous est offert. On retourne au Moyen Âge avec le château de Carisbrooke ou on rencontre le fantôme de la reine Victoria à Osborne House. On s’émerveille des fossiles de Dinosaur Isle ou on se promène en locomotive à vapeur : l’île de Wight est un immense parc d’attractions naturel, imprégné d’histoire.
Les Hébrides – Tout le mystère de l’Écosse en quelques îles
Repère des grands oiseaux marins et des phoques, les Hébrides, intérieures et extérieures, semblent des apparitions fantasmagoriques en pleine mer d’Écosse. Elles invitent à l’aventure et à l’exploration, entre menhirs à peine érodés et brochs coniques issus de l’âge de fer. On se plonge dans l’ère des premiers insulaires et de leurs légendes, on entend encore le hurlement des clans ennemis avant l’assaut, on se barricade dans une maison en toit de chaume ou on se cache dans les ruines d’un château abattu. Un peu plus loin, on se promène le long de plages de sable blanc, admirant les eaux chamarrées de bleu, et on est attiré par les chants gaéliques des Écossais qui ont décidé de vivre là, sur ces îles intemporelles. Les artisans tissent des Harris Tweed dont on a envie de se vêtir, les pubs répandent des mélopées de folk traditionnel, à écouter en dégustant langoustines et homards. Une envie d’autarcie qui nous submerge, tandis qu’une nuée de mouettes vient nous saluer, au souffle des embruns.
L’île de Mull – Un abri coloré pour les oiseaux rares
Dans les Hébrides intérieures, au beau milieu de la mer d’Écosse, l’île de Mull se devine d’abord par le phare de Rubha nan Gall, tour cylindrique immaculée de plus de 150 ans qui semble attendre les visiteurs comme le gardien d’un passage secret. Dans la petite et charmante ville de Tobermory, on voit la vie en couleurs, avec ces maisons et échoppes artisanales rouges, jaunes ou bleues, sa compagnie de théâtre et ses pubs pleins de vie. À quelques pas de là, perché sur une colline verdoyante, le château de Duart entièrement restauré attend paisiblement de guerroyer à nouveau. Il doit se contenter d’être un abri pour des pygargues à queue blanche, ces aigles de mer qui ont choisi Mull pour refuge. En toute quiétude.
L’île de Staffa – Le repère des macareux
En pleine mer des Hébrides s’impose une île sauvage où la nature n’a jamais cédé ses droits, l’île de Staffa. Formée par des éruptions volcaniques, l’île est composée d’un matelas herbeux verdoyant et de falaises dans lesquelles se sont creusés des orgues basaltiques, curiosité géologique qui fait la joie des touristes. Elle recèle également de nombreuses criques et des cavernes sous-marines, comme la grotte de Fingal tant décrite par Jules Verne. C’est dans cette nature encore sauvage et hirsute, que les macareux viennent nicher. Et se laisser photographier.
Si atolls et lagons riment toujours avec évasion… les îles de l’Atlantique Nord ne sont pas en reste lorsqu’il s’agit de découvrir des contrées enchantées. L’accent rugueux des Écossais et Anglais, la nature épanouie et des panoramas à couper le souffle… vous y êtes. Un autre monde où tout n’est que beauté et mystère…
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