Home > À la découverte des côtes sauvages françaises

À la découverte des côtes sauvages françaises

iStock-871247878-1_img1000x645

Les plus belles côtes sauvages du littoral méditerranéen et de la façade Atlantique

Dessinées par le ressac des vagues pendant des millénaires, les côtes sauvages françaises composent des paysages à couper le souffle. Le long des rivages de la Corse, au bord de la Méditerranée ou sur la façade Atlantique, entre plages, criques et sentiers, ces trésors naturels s’apprécient depuis la mer et invitent à la contemplation…

La côte sauvage du Pays basque : de Saint-Jean-de-Luz à Pasajes, un littoral vallonné

Entre Saint-Jean-de-Luz et Hendaye, la “corniche basque” offre aux promeneurs de magnifiques panoramas : falaises abruptes, landes à bruyères dominant des criques préservées, à l’abri de la vague Belharra, emblématique ressac de la région que connaissent bien les surfeurs.

iStock-1159460386-1

La côte sauvage basque se prolonge après la frontière espagnole, entre Gornutz et Pasajes. Le pic d’Itzalarri, les affleurements rocheux de Labetxu et la plage de las Paramoudras composent un paysage plus vallonné et verdoyant encore de ce côté-ci !

La mer d’Iroise : la côte sauvage du Finistère et les îles du « bout du monde »

Ils figurent parmi les paysages les plus emblématiques de la pointe de la Bretagne. Les pics rocheux balayés par le ressac à Ouessant, les plages de sable blanc de l’archipel de Molène, les chapelets d’îlots dominés par les falaises de la pointe de Pen-Hir (sur la presqu’île de Crozon) en constituent les principales merveilles. En 1988, l’Unesco a désigné une partie de ce territoire comme Réserve de biosphère.

iStock-126103236-1

La côte sauvage du Finistère comprend aussi bien le littoral sur le continent que les îles du large. De part et d’autre de la plage de Morgat, symbole de la presqu’île de Crozon, les criques apparaissent entre deux pics luxuriants, surplombés d’une eau turquoise. À quelques milles des terres, l’archipel des Glénan symbolise la biodiversité insulaire de la région. Cormorans, tadornes de belon ou gravelots figurent parmi les nombreuses espèces d’oiseaux qui s’y retrouvent. Arpenter les rivages et les plages de sable fin de ce chapelet d’îles invite à la sérénité…

Quelques pépites de la côte bretonne

S’étendant sur des milliers de kilomètres, le littoral de la région bretonne et du nord des Pays de la Loire regorge de lieux étonnants façonnés par les marées, le vent et le cours du temps.

Les marins la connaissent pour ses zones abrités, les esthètes pour son paysage. La région du sillon de Talbert abrite une réserve naturelle régionale. Cette flèche de sable et de galets de près de trois kilomètres de long entrant dans la mer, s’étend puis se rétracte au gré des marées. Une caractéristique qui fait la joie des pêcheurs à pied, mais aussi des visiteurs, qui découvrent deux paysages différents suivant l’heure. Chardon bleu, radis marin ou choux en composent la végétation colorée. De nombreux oiseaux migrateurs ont fait du sillon de Talbert une étape dans leur grand voyage, pour la grande joie des ornithologues amateurs.

Côté sud, la géographie du golfe du Morbihan invite à la découverte de la côte sauvage de Quiberon. Balayé par les vagues, son paysage s’étend sur près de 8 kilomètres, et regorge de raisons de s’émerveiller, comme la pointe du Percho ou les dunes du sud de la presqu’île, « suspendues », en haut des falaises.

iStock-813449620-1

Auprès des célèbres marais salants, se trouve la presqu’île de Guérande, en Loire-Atlantique, une zone préservée à découvrir. Les différents saillants du littoral abritent de nombreux coquillages et crustacés  et des grottes granitiques sculptées par les embruns forment une topologie remarquable. Non loin du Pouliguen débute le fameux GR34, ou « sentier des douaniers », itinéraire pédestre qui se termine auprès du Mont-Saint-Michel, aux portes de la Normandie.

La côte sauvage de la Camargue : un parc naturel régional ouvert sur la mer

Les sansouïres de Camargue, ce paysage à la végétation composée de salicornes et de saladelles, irriguée par l’eau de mer, ont fait la réputation de cette région du sud de la France. Le bord de mer camarguais, ce sont aussi de belles plages qui s’étendent à perte de vue, entourées de dunes recouvertes d’oyats.

Entre étangs, mer et marais, une faune diversifiée a pris ses quartiers sur ce littoral, en particulier les flamants roses, présents parfois en très grand nombre sur l’îlot du Fangassier et dans les salins du Midi. Entre les Saintes-Maries-de-la-Mer et le golfe de Fos, chaque étape invite à la contemplation : le salin de Giraud depuis la mer, la pointe du Sablon ou la plage de Piémanson, dessinent des paysages colorés et sauvages.

Salins-Salin-de-Giraud-Camargue-Austral@StudioPonant-OlivierBlaud1-1

©Studio PONANT

La côte sauvage de la presqu’île de Saint-Tropez et ses plages de rêve : du cap Taillat à la pointe de la Rabiou

C’est un décor que le monde entier connaît, grâce à une notoriété née dans les années 1950. Sur le front de mer, à quelques encablures de Ramatuelle, un paysage préservé et mirifique fait la réputation de la presqu’île de Saint-Tropez.

Relié à la côte sauvage par un cordon sableux, le superbe cap Taillat fait la jonction entre la baie de Briande et celle de Bonporteau. Ses eaux transparentes et ses roches beiges évoquant les îles de l’océan Indien donnent un aperçu des panoramas qui se découvrent tout au long d’une croisière le long du littoral méditerranéen.

Le littoral se dessine petit à petit, en passant par la plage de la Douane, la crique de l’Amour, avant de contempler la baie de Bonporteau. Celle-ci abrite la plage de l’Escalet, le long d’une côte sauvage où se mêlent le turquoise de l’eau, des roches terre-de-Sienne et une dense garrigue.

Cap-Taillat-Austral@StudioPonant-OlivierBlaud01-1

©Studio PONANT

Passé le cap Camarat, se dresse la baie de Pampelonne et son immense plage de sable fin, bordée par des pinèdes. La côte retrouve un aspect plus sauvage au niveau des affleurements du cap du Pinet. Sa topologie est typique du massif des Maures, avec de nombreux plissements et failles, témoignages de la période volcanique de ce paysage. En remontant vers la pointe de la Rabiou et Saint-Tropez, une flore colorée borde le sentier côtier.

La côte sauvage et les plages paradisiaques de la Corse du Sud

Depuis Bonifacio, les environnements préservés et étonnants de la Corse du Sud se déploient sous les yeux des observateurs avertis. Certains des plus beaux spots de cette partie de la mer Méditerranée se trouvent à quelques encablures de là. Il faut quelques minutes par la mer pour rejoindre ainsi l’emblématique plage du petit Sperone, aux eaux translucides typiques de cette région de l’île de Beauté.

En s’éloignant un peu, deux sites incontournables du littoral attendent les voyageurs : au nord-est de Bonifacio se situe le golfe de Santa Manza, découpé en deux plages (Maora et Santa Manza) par un affleurement rocheux nommé Punta Rossa. À l’ouest, parmi les plus belles de France, celle de Roccapina vaut le détour, voire le voyage. Gardé par un « lion » en granit recouvert des plantes du maquis, le site rivalise de beauté avec la plage voisine d’Erbaju.

T110720_CORSE_Roccapina_landscape_beach_tour_rocks@StudioPonant_LauraGelfged-retouche-1

©Studio PONANT

Les calanques de Bonifacio, où vivent étoiles de mer, langoustes ou Saint-Pierre, sont bien connues des navigateurs locaux. La crique de Fazzio, avec ses falaises blanches et son bassin protégé du vent, ou la calanque de la Catena, située dans l’embouchure du port de Bonifacio, se contemplent très aisément depuis la mer.

Toute la côte de la Corse du Sud accueille de petits lagons, aux allures paradisiaques, qui n’ont rien à envier aux Caraïbes. Piantarella et son eau claire, parfait pour les adeptes de nage en eau chaude, la plage de Balistra, entourée de petites collines granitiques, la baie de Rondinara et sa plage en croissant de lune s’y distinguent. Dépaysement garanti !

Calvi et le Cap Corse, côte escarpée

Le nord de l’île de Beauté abrite quelques superbes golfes, dont celui de la Revellata, à proximité de Calvi. Il se distingue par ses nombreux affleurements : sa côte très escarpée accueille anses et pointes. Son eau abrite par ailleurs une faune et une flore marine exceptionnelles : corail rouge, gorgones, mérous, murènes…

Au sud-est du Cap Corse s’étend le golfe de Saint-Florent, au large du village du même nom. Depuis la mer, les charmes du nord de l’île de Beauté s’y déploient. Plages de sable fin surplombées de vertigineuses montagnes, avancées rocheuses sur la mer et petites criques typiques sont remarquables dans cette région sauvage et paradisiaque !

Saleccia-Desert-des-agriates-Corse-Austral@StudioPonant-OlivierBlaud2_img1000x645

©Studio PONANT

img-enrichissement

PONANT vous y emmène

Voyagez le long des côtes sauvages du littoral français

A découvrir

Les brochures PONANT

Vous souhaitez en savoir davantage sur nos destinations d’exception ?

mockup-escales